Je sème à tous vents...
Je m’épivarde à droite et à gauche, cumulant les lectures diverses, les intérêts contradictoires. Sur mon petit guéridon, dans mon petit coin de cuisine où je siège sur ma berçante à côté de mon portable et de mon lecteur de cd je retrouve un petit livre de Louis Cornellier (professeur de littérature au cégep de Joliette et rédacteur en chef de la revue Combats, il est aussi chroniqueur au journal Le Devoir)« À brûle-pourpoint. Interventions critiques » aux éditions Septentrion, « Toute la ville en jazz » de Stanley Péan, « Partita pour Glenn Gould » de Georges Leroux, « L’année de la mort de Ricardo Reis » de José Saramago (prix Nobel de littérature 1998), l’œuvre poétique de Fernando Pessoa dans la Pléiade, « Voyage aux pays du vin. Histoire, anthologie, dictionnaire » dans la collection Bouquin de Robert Laffont, et « Redécouvrir l’histoire mondiale, sa dynamique économique, ses villes et sa géographie » de Luc-Normand Tellier. Ah oui, il y a aussi la revue « Philosophie » avec son dossier « Je travaille donc je suis », et un coffret de 6 cd du pianiste Glenn Gould jouant Bach, Beethoven, Schoenberg, Berg et Webern…
C’est beaucoup ? Oui. Sans doute un peu trop même pour un même homme qui se cherche sans se trouver…